Depuis le début de l’année, je n’ai lu que des romans. En fait, j’avais fait une pause dans tout ce qui était manga, la faute à un certain ras-le-bol : shōnen comme shōjo sont tellement codifiés qu’on finit par avoir du mal à être surpris.
Depuis le début de l’année, je n’ai lu que des romans. En fait, j’avais fait une pause dans tout ce qui était manga, la faute à un certain ras-le-bol : shōnen comme shōjo sont tellement codifiés qu’on finit par avoir du mal à être surpris.